En 2020, j’ai écrit un mémoire lié au sujet du coaching, comme outil d’accompagnement à la transformation individuelle en temps de transition écologique.

Le contexte était différent d’aujourd’hui. Les questions de transition écologique ne faisaient pas régulièrement la une des médias, l’éco-anxiété semblait liée à la jeunesse et la solastalgie inconnue ou liée à certains peuples, les groupes d’acteurs de la transition regroupaient principalement des militants et des jeunes. Le réchauffement climatique pouvait encore sembler lointain ou comme appartenant à un autre monde. Et, au milieu de tout ça, de plus en plus de personnes s’éveillaient à une prise de conscience écologique.

C’était il y a seulement deux ans et il me semble que depuis, un grand bond en avant a été fait, tant au niveau individuel que de la société, dans la prise de conscience de notre impact « non équivoque »[1] sur l’état du vivant qui nous entoure et dont nous faisons aussi partie. Aujourd’hui, cette prise de conscience doit nous mener à nous questionner sur notre nécessaire engagement à nous mettre dorénavant au service du vivant, via la participation active à la transition écologique, tant au niveau individuel que collectif.

C’est pourquoi, je vous propose quelques-unes de mes réflexions sur le sujet.

J’aborderai des questions liées à l’Humanité du XXIè siècle face à un changement de paradigme, au processus de conscientisation de l’état du monde, aux néologismes sur les émotions ressenties (éco-anxiété, solastalgie…), au processus de transition intérieure vécue alors, des pistes d’action pour devenir acteur du changement…

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